right now i'm flying (w/ aphelios)
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right now i'm flying (w/ aphelios)

2 participants
Nikita Litvin
Nikita Litvin
silenced whispers echo ---


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SOMBRE DEUIL
étape actuelle : déni.

.recherche de rp.

Old as fuck : ( 27 )
Soul : ( seul·e ) & ( asexuel·le )
Success : ( plongeur·euse ) restaurant trou dans l'mur & ( ombre tueuse ) assassin·e des assassins pour le Styx
Place : ( fordham district ) maisonnette au bord de lac
right now i'm flying (w/ aphelios) KdVydeuF_o
Messages enflammés : 23
Cendres a(b)imées : 100

Oxymoron
crédits: ava@suskind + icons@nanami + codeprofil@a-devious-route
pseudo/prénom: dionysass
pronoms: (joueureuse) ael/accords neutres (personnage) he/they
triggers: à voir ensemble (agressions sexuelles)
warnings: dysmorphophobie, violence, assassinats, sang, négligence, traumatisme religieux, parricide potentiel, ptsd, anxiété, mentions de figures religieuses, d'armes & de travail du sexe
statut et style rp: open bar (1/5) -- rp exclusivement en tu, entre 200 et 500 mots (ou plus à l'inspi), 100% à la vibe et aux feelings
discord: ( sur demande )

Right now I'm flying
So come and take a shot at me

@Aphelios Holloway
tw : assassinat, sang, description blessures, pensées suicidaires (passives)
Red, tu n'es qu'une couleur accompagnée d'une sensation de peur brulant les os. Red, tu n'es qu'un lumineux point rouge au milieu du front, un reflet sanglant d'une lunette de sniper. Une seconde, l'effroi glaçant le dos, le frisson qui remonte le long de la colonne ; une seconde, une trouille qui rend mou, liquide. Une seconde, avant que le point rouge ne se transforme en un creux sanguinaire, qu'une trace d'éclaboussure de plus contre un mur de briques.

Parfois, tu es plus proche, trop proche. Parfois le sang gicle sur tes vêtements, sur ton visage. Gouttes poisseuses contre ton épiderme si pâle. Si proche de la mort qu'elle peut te susurrer des mots à l'oreille ; sa faux que tu lui as volée il y a des années, contrat de travail que tu as signé de ton innocence.
Et il y a les fois où les cadavres se débattent. Des fois où le contrat te guide vers quelqu'un qui n'a pas envie de suivre la douce route que tu traces pour lui, celle qui le mènera vers une meilleure réalité, une plus grande liberté.

La chose sombre et mouvante dans le fond de ton estomac aime ses moments là ; toi, beaucoup moins. La colère cachée dans tes organes, dissimulée sous une couche d'innocente nostalgie, se permet de sortir et Red, tu deviens prédateur·trice poursuivant une proie trop combative, pulsion animale qui rend l'après toujours plus compliqué.

Ce soir, tu es Red. Une couleur accompagnée d'une sensation de peur brulant les os ; mais ce sont tes os, c'est ta colonne qui frissonne, les fondations d'un corps terriblement humain qui se mettent à trembler. La couleur, elle, couvre ta peau et tes vêtements. Gorge béante, entaille proche, si proche d'une trop fragile jugulaire.

As-tu vraiment été chanceux·se ?
C'était le retour du Destin.
Un antidote à ta douleur.
Une porte de sortie.

Et pourtant, tu te débats, beau diable. Tu te débats parce que tu as envie de vivre ; l'espoir, terrible, d'un avenir meilleur, d'une lumière au bout du tunnel. Un soleil, que tu ressens parfois contre ta peau alors que tes mains sont couvertes de savon bon marché et d'eau tiède, alors que tu nettoies les assiettes collantes ; que tu ressens, souvent, accompagné de ceux que tu appelles ta famille, un sourire calme derrière ton masque.

Un soleil qui va bientôt se lever, d'ailleurs. Sur le toit de l'immeuble, caché·e au milieu des cheminées et du brouillard matinal, tu observes le ciel. Tu as laissé sur ton chemin, un véritable tapis rouge, hémoglobine guidant bons et mauvais jusqu'à ta forme pathétique au sol, animal blessé attendant que quelque chose se passe.
Capuche baissée, tes cheveux blancs collent au sang couvrant ta nuque ; masque noir mais poisseux encore sur le visage, il est déchiré au niveau de ton nez, petite griffure rougeâtre coupant dans ton épiderme.

Tu sais que tu vas devoir descendre. Survivre. Soigner ta gorge, laver le sang, te relever.
Dans quelques heures, tout redeviendra comme avant ; mais maintenant, fixant le ciel, observant le soleil chauffer ta peau de ses premiers rayons, tu rêves de pouvoir voler
Aphelios Holloway
Aphelios Holloway
silenced whispers echo ---


(    )

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inspired by the fear of
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BEING AVERAGE

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LE STYX :
organisation criminelle artistique - les artistes du pire ツ www.

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Old as fuck : 26 flanelles et velours — 13 février 1997 ༉‧₊˚. vice roi de tous les sophismes ostentatoires. auguste carmin, il est le chapelet des croyants ainsi que les vignes qui abreuvent la lueur aux lucarnes des hommes.
Soul : pansexuel — demiromantic ༉‧₊˚. les salvations sentimentales évincées sont de douloureuses et délicieuses ecchymoses, les compliments avivant la machine de méfiance, lorsque les violences font vibrer l'endocarde. soif inextinguible de corps, faim irresistible de tous les anges qu'il mène à son temple. il les aime purs comme au premier jour lorsqu'il vient les charmer — il les veut pour toujours, lorsqu'aels sont mauvais comme au dernier.
Success : mannequin & acteur — usurpateur ༉‧₊˚. comte de fallacieuses idylles, il est lié aux plaies de l'ésotérisme et de croyances sectaires dans la vieille intimité et pourtant, sur scène, c'est une des étoiles grimpantes au sommet-firmament. prestige et luxe, gloire et pouvoir, il est l'homme et non le portrait de gray, l'image idéalisée de ce que l'homme devrait aspirer à désirer.
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Messages enflammés : 62
Cendres a(b)imées : 288

Oxymoron
crédits: ☆ ava. ralhiel + img profil. urfavyeonjun, wahgifs & be3byk
pseudo/prénom: sigma.
pronoms: IRL ≡ she/her — RP ≡ he/him/they, incertain sans étiquette.
triggers: rien tant que c'est bien mené.
warnings: relation toxiques, dépendance affective + système d'emprise sectaire, désordre familial, adoption, violences physiques et psychologiques dans le passé, vol d'œuvres d'art, manipulation et usurpation, possible mention d'intimidation et d'assassinat, daddy/mommy kink, psyché en éclats, personnalité obsessionnelle, épiphanies dangereuses, masochisme, érotisme et sexe plus ou moins explicite.
statut et style rp: 〔 LIBRE 〕écrits à la troisième personne, présent ou passé dépendant de l'inspiration. (( entre 400 et beaucoup de mots )) dialogues en français mais aucun problème à être repondue en anglais.
discord: (évidemment facultatif)
Right now I'm flying
So come and take a shot at me


rp privé, @nikita litvin   heart
tw : vol d'oeuvre, blessure, sang, mention de correction. ------

outfit
ıllıllı - ıllıllı

La consécration devait se trouver dans tout art, ô combien prenant, obsédant, nocif — balafres artistiques délicieuses et tortueuses, les épiphanies étaient sélectives et amères lorsqu'elles le narguaient de leur absence. Il s'adonnait pourtant à cette torture, Aphelios enchainé à l'énième toile des rois, améliorant ce qui n'avait lieu d'être que pour relier leur travail à la perfection. Ce n'était pas lui qui avait brodé la toile dans son entièreté, il récoltait le travail-minutie, s'armant de patience pour accentuer la vieillesse de la toile, illuminant l'atelier de fausses flammes et de produits chimiques. Il en avait accentué chaque détail, se remémorant les moindres artifices de l'œuvre originale, volée, sublimant désormais leur réserve de pierres précieuses. Le travail était un spectacle à monter de toutes pièces et chaque coup de pinceau infime était un pas de plus vers une pièce d'excellence.

Nuit noire, le silence remplit la pièce et ses oreilles, sans musique aucune il s'attela à son plaisir — se nourrir du vice de ceux qui avaient piétiné ses inspirations épurées, jusqu'à le rejetter dans la boue. Il n'avait donc aucun regret à repeindre une toile vierge d'un assemblage plagié de toutes pièces, à recouvrir le blanc en des nuages aiguisées, voir les pigments achetés — car il ne pegnait avec des peintures industrielles mais créerait chaque nuance, comme à l'époque — se fondre dans la mélasse cadenassée par sa précision. Parfois, les pensées s'évanouissaient dans la nature, happées par les calculs qu'il ne cessait de faire, par les millimètres qu'il ne dépassait jamais pour que l'œuvre soit irreconnaissable comme fausse. Tel était son art tissé dans la minutie des années et des corrections.

Aphelios soupira, se redressant en faisant claquer ses articulations ainsi que ses vertèbres. Il avait pratiquement terminé son travail, il ne lui restait qu'un minuscule voile à poser et il aurait engagé la finition complète. Il était en avance sur les temps et se permit de soupirer une seconde fois avant de sortir prendre l'air. En fin de soirée, la ville était plus belle et il aimait métamorphoser les lumières des bâtiments pour les transformer en étoiles filantes. Il aimait regarder le soleil se lever et teindre sa peau de nouvelles braises. 〔 Cette fois en sortant ce fût le sang qu'il trouva 〕 Pas loin de là, le sillage cruor alimentant le sol de diverses marques, un seul regard suffit pour comprendre que la blessure était profonde et que sans soins, l'être ne survivrait pas seul. Alors il suivit sa trace, silencieusement, cherchant du regard un moindre signe de meurtrissure, courant lorsque le visage d'un être manquait depuis trop longtemps et qu'il savait le temps néfaste pour les blessés.

Jusqu'à le trouver.
Là, encastré sur le sol, un masque sur le visage.
Un masque qu'il reconnut comme étant un de son organisation.

Aphelios resta muet un instant, quelques micro-secondes le temps de bien le réaliser, que son propre sang froid vienne à se réveiller. — Est-ce que vous êtes encore conscient ? Demanda-t-il en se précipitant vers lui, les doigts gantés glissant auprès d'un pouls qu'il parvint à trouver non sans se tremper d'hémoglobine. Il ne paniqua pas, pourtant, plaçant son pouce à la base de la nuque, près des vertèbres pour l'empêcher de trop se liquéfier. Il s'acharna en premier à s'assurer que rien n'avait pénétré sa plaie, puis il s'approcha pour les gestes de premier secours. — OK, alors écoutez-moi bien. Est-ce que vous comprenez ce que je dis ? Vous pouvez bouger votre bras ? En observant la plaie, il remarqua la morsure d'une arme et en examinant le saignement, il s'assura des blessures et de leur emplacement avant de guider sa main auprès de son cou. En déchirant une partie de sa chemise, il lui fit de quoi englober la plaie entière. — Je vais devoir vous déplacer, appuyez le plus possible sur la plaie le temps que je vous redresse. Ne lâchez pas. Je vais vous tirer d'ici, je vous le promets. Aussitôt, il le releva aussi droit qu'il le put, le portant de ses deux bras tout en se précipitant sans trop de mouvement à l'intérieur de l'immeuble. Le sang entacha ses vêtements et son visage, il se dépêcha de le ramener dans sa pièce privée, le glissant sur le lit médical qu'il avait placé là pour quelques aides de dernière minute. Ainsi que pour les siestes, il se remercia intérieurement de son propre génie en l'y installant.

— Out of darkness we bring light...  

Il susurra, délicatement tout en retirant ses gants d'artiste pour des gants médicaux. Ce message, il ne venait pas de nulle part. Ces mots, ils n'étaient pas choisis par plaisir, ils résonnaient comme un poème aux oreilles des artistes du Styx. Il était la première ligne permettant de vérifier ou signifier son appartenance au groupuscule. Il espérait que l'être qu'il avait récupéré soit assez conscient pour en comprendre le sens et pour s'abandonner le temps qu'il puisse le soigner.