aux ténèbres manquent les flammes (scarlett)
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aux ténèbres manquent les flammes (scarlett)

2 participants
Ty O'Lynch
Ty O'Lynch
he's poison
but tasty


(    )




HELL IN VEINS
poison & toxicity
scar et les ténèbres ;; xx

Old as fuck : POISON TOXICITY ;; ridules 45 sur le faciès, adn irlandais, o'lynch du pater et de sa putain, la misère plein les lippes - cocaïne en pluie fine.
Soul : créations érotiques en fleurs venin. femmes bouts de papiers glacés, supports à fantasme, multiplicité d'âmes brisées et de reins à enlacer.
Success : REAL ;; de films à succès. outrageusement cossu.
Place : villa, #66 highland victory
aux ténèbres manquent les flammes (scarlett) Ac0195d8e36eb107ef747460ea9ce80d
Messages enflammés : 90
Cendres a(b)imées : 164

Oxymoron
crédits: neventer. av ;; kaotika. icons
pseudo/prénom: cécile, spf.
pronoms: elle. joueuse ;; il. personnage
triggers: mp to talk about it.
warnings: masculinité toxique, age gap, pervers narcissique, ego surdimensionné
statut et style rp: pleinement disponible, écriture en tu.
discord: je suis trop hasbeen pour ça

aux ténèbres manquent les flammes

rp privé, @Scarlett Rhodes
tw : évocation de sexualité, age gap
vois le grand éclair virtuose
et sa lueur dans les ténèbres
l'imagination qui frappe, luciole phosphorescente aux ardentes élytres. les idées tourbillonnent, chimériques créations, projets plein la panse. tu visualises nettement les images abyssales qui s'ancrent sur la rétine, personnages aux multiples couleurs, scénarii aux esthètes visuels. verre dans ta main qui se vide, et les doigts tapotent sur le clavier à vitesse grand v, ne pas prendre le moindre risque d'oublier.
syndrome page blanche comme hantise,
démon macabre aux sournois pigments.
il y a une image qui se fixe. un, deux, trois. paysage d'Ottawa, décor burlesque, désert au soleil piquant comme cheval de Troie. quatre, cinq, six. elle a le syndrome Narcisse, l'héroïne de ton roman, se vautre dans les abysses, recherche la catharsis. sept, huit, neuf...
ton verre se termine dans le fond de ta gorge, chaleur vertige qui ébranle ton âme, te sors un instant de ton coma illusoire.
elle avait la blondeur angélique d'une poupée de cire, ta vision, les yeux d'un brun profond, dans lesquels on se perd, noyage volontaire dans les abimes du désir. corps érotique aux formes retenues, silencieuses, comme tant de secrets mystères à divulguer, visage poupin à l'allure caustique, quand les lèvres se relèvent dans une mimique sardonique.
elle a les yeux d'un ange et les lèvres d'une harpie.
c'est bien l'image de scarlett qui se fixe dans ta rétine, s'immole dans ton utopie, vestige de fantasmes nocturnes interminables. tu la vois dans le désert d'ottawa, chaleur vibrante au creux des reins, et le scénario du film se fait limpide. elle est l'héroïne d'un carnage intime, fatale tragédie, pléonasme du trépas. il y a du sang, de la boue, et du sublime. triptyque favori du grand public.
elle est faite de ça, aussi, l'actrice dévoyée du nom de Rhodes.
éventrée par la pression, la poupée, elle a le sang qui s'écoule de la bouche pour satisfaire les exigences du commun, spectateurs boueux qui transfusent en elle leurs plus sordides concupiscences. sublime, aussi, Rhodes, quand ses prunelles se perdent au creux de la nuit, réverbèrent les étoiles ; quand elle danse sur tes reins, bouche entrouverte, suivant la mélodie de ses caprices.
toute entière, la métamorphe, elle est gorgée de talents,
elle est un vertige aux milles visages.
il te la faut. elle seule pourra donner vie à ce scénario qui naquit de tes doigts pygmalions. comme un besoin irrépressible et viscéral de faire d'elle ce que tu vois dans tes troubles, collapsus créateurs qui te rendent inhumain. peu importe désormais qui elle est, Scarlett, elle n'est plus qu'une page blanche que tu griffonneras à ton aise de ton encre mortifère.
les étoiles virevoltent haut dans le ciel, la soirée bien entamée réclame la fusion de la muse et de son créateur, que les astres s'alignent jusqu'à l'olympe créatrice. elle est l'artefact de tes reliures, l'épicentre de tes œuvres.
" bonsoir Scar, si t'es dans le coin, j'ai un personnage à te présenter. " sms envoyé, l'attente se fait lancinante. il te tarde d'entendre le claquement de ses pas souillant de leur sonore entité le sol marbré de ton salon, verre servi à ta duelle partenaire, pendant que la logorrhée de tes idées envahit la pièce d'une brume génitrice. qu'elle lui donne vie, la poupée. prenne forme sous tes motsaux.
aux ténèbres, manquent vos flammes.

Scarlett Rhodes
Scarlett Rhodes
silenced whispers echo ---


(    )

https://burning-ashes.forumactif.com/t71-traces-of-oblivion-scar



aren't we all
SINNERS?






Old as fuck : twenty six ✦
Soul : single ✦
Success : actress ✦
Place : #22 victory ✦
Messages enflammés : 158
Cendres a(b)imées : 445

Oxymoron
crédits: avatar; depraysie. ✦ sign; awonaa & gif; nyusha.
pseudo/prénom: strn, elle.
pronoms: féminins.
triggers: aucun normalement abordé inrp.
warnings: milieu familial toxique, ascendance psychologique, troubles du comportement alimentaire, pression familiale et sociale, relation toxique + age gap.
statut et style rp: disponible | +/- 500 mots, troisième personne du singulier, fr/ang -tout adaptable au partenaire | rythme aléatoire. (la pression, c'est pour la bière♡)
discord: sur demande, no prob.♡
Aux ténèbres manquent les flammes
rp privé, @ty o'lynch
tw; age gap


outfit -- Une fois l'exaltation de la journée finalement retombée, ne reste plus que le silence – torturé plus qu'apprécié. Starlette se sent alors de son énergie vidée, mais continue de garder le sourire ; figé sur ses lippes, par habitude, par envie, par besoin... ne sait même plus ce qui prime, à la fin. Peut-être la peur, l'appréhension qu'on ne lui vole une photo qui pourrait donner lieu à des élucubrations. Parce que c'est ce qu'ils aiment, dans le fond, prendre le pire pour vendre toujours plus.

C'est ce qu'elle déteste le plus, dans son milieu. Les paparazzis. Ces sales rats toujours prêts à tout pour la choper ; harceler pour pousser à commettre l'imparable, pourchasser pour parvenir à photographier le plus compromettant possible. Et, par tous les Saints, ce qu'elle les déteste pour tout ce qu'ils lui interdisent ; de ne pas pouvoir vivre comme elle l'entend, marcher sans se sentir épiée, montrer ses réelles émotions. Être normale.

Sa plus grande fierté? D'avoir toujours été des plus cordiales avec eux malgré tout, jouant souvent le jeu au détour de quelques sorties – faire semblant, donner cette impression de presque les apprécier, eux et leur harcèlement intériorisé. « C'est le jeu, quand on est une célébrité. » C'est ce que papa lui a tant de fois répété, lui le créateur adoré, adulé. Lui qui aime, vit pour se montrer. Lui qui a voulu qu'elle en fasse de même, avant même qu'elle ne soit en âge de tout réellement comprendre.

Ce n'est que lorsqu'elle arrive au pied de son immeuble qu'elle prend enfin le temps de vérifier son téléphone, et enfin, un réel sourire se dessine sur ses lèvres en lisant les messages de son réalisateur préféré. Se rendant compte d'avoir un peu tardé à répondre, une moue se dessine sur son visage pourtant comme réanimé. Rapide réponse qu'elle lui envoie, indiquant à son chauffeur de poursuivre son chemin jusqu'au #66. Et il ne lui faut alors que quelques minutes supplémentaires.

Revigorée, elle n'oublie pas de regarder autour d'elle avant de sortir de la voiture pour rejoindre l'entrée ; maintenant impatiente de savoir, comprendre ce qui l'attend de l'autre côté. Excitée de pouvoir prendre vie sous une nouvelle forme, qu'il lui aura concocter, se laisser manipuler au bon vouloir de celui imaginant toujours mille merveilles – et dont elle prend un malin plaisir à incarner pour toujours mieux le satisfaire. Lui, plus que son père et sa mère. Lui, plus qu'elle-même.

« Bonsoir, monsieur O'Lynch, » minaude-t-elle lorsque la porte s'ouvre pour laisser place à ce visage, ce regard si percutant. « Mon petit doigt m'a dit que vous aviez quelqu'un à me présenter... » Joue les fausses innocentes, petite poupée prête à être désarticulée.
Ty O'Lynch
Ty O'Lynch
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Soul : créations érotiques en fleurs venin. femmes bouts de papiers glacés, supports à fantasme, multiplicité d'âmes brisées et de reins à enlacer.
Success : REAL ;; de films à succès. outrageusement cossu.
Place : villa, #66 highland victory
aux ténèbres manquent les flammes (scarlett) Ac0195d8e36eb107ef747460ea9ce80d
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aux ténèbres manquent les flammes

rp privé, @Scarlett Rhodes
tw : évocation de sexualité, age gap
sourire figé, fixé. lippes éventrées sur le visage porcelaine de la poupée.
beauté vacillante qui te foudroie d'un éclair zigzagant dans les ténèbres.
te pâmes un instant de ce visage comme pour ne rien oublier.
la cristalliser dans ton éternité, dans tes prunelles
comme dans l'œil magnanime de ta caméra olympienne.  
blancheur canines, carmin sanglant de lèvres maint fois dévorées.
tu as l'âme vampire, le désir de mordre, se repaître de ce liquide vital qu'elle diffuse comme un encens. déesse passion tape à la porte de ton bas ventre quand tes prunelles s'attardent sur la pâleur de son corps à demi-nu, délivré comme un virginal présent. la blancheur de sa tenue contraste délicieusement avec l'obscurité ténébreuse de la nuit venue. elle semble angelot perclus dans l'ombre, quand tu es diable à enlever les virginales candeurs. tu n'as qu'à la saisir entre tes bras maudits et la damner toute la nuit.
mais, dans l'ombre, d'autres projets se préparent.
une dissemblable reine, plus impérieuse encore, se manifeste. l'inspiration

tu invites la belle scar à entrer d'un geste de la main, tes lippes se distendent comme pour répondre aux siennes dans un miroir d'éther.
à peine a-t-elle le temps de s'installer, poupée de porcelaine trouvant sa place dans l'immense canapé composant l'un des rares meubles d'un salon grotesquement gigantesque, que ta langue se délite.
" elle s'appelle azellia. elle a les yeux torpeurs et la bouche ardente. elle ne sait pas si elle doit danser ou pleurer, elle hésite devant chaque virage, mais elle a de grandes décisions à prendre. " tu virevoltes devant les yeux de la belle porcelaine, spectacle survolté à la parole preste.
ça sort en tornade, tourbillons évanescents qui ne se laissent pas trop approcher. les brides se disloquent à peine prononcées, et tu ne regardes même pas scar pour t'assurer qu'elle les attrape en plein vol. peu importe, en vérité.
tant qu'elles s'échappent de ta bouche profusément liée.
" elle va vivre un drame intime dans les braises du désert, de ceux qui chamboule l'âme et bouleverse le destin, et devoir grandir sans l'ombre d'un oasis-mirage. " tes pas te mènent d'un bout à l'autre de la pièce, serpent crocodile coincé dans sa cage.
pieds qui frappent lourdement le sol au rythme de ta litanie.
les maux délivrance,
s'envolent en refuge scar
pitié qu'elle s'en saisisse.
ton corps tout entier se meut en une statue rigidité. plus un mouvement, silence épuisant, tes prunelles qui se figent dans celles de scar, plongent en elle pour y voir quelque ébranlement. et puis un souffle. presque murmure.
" je veux que tu sois elle. "
tu veux, tu le désires. intimement. fermement. profondément. c'est inscrit dans les viscères. tu ne toléreras pas le " non ", et brûleras de désir pour quelque affirmation. ce soir, elle est azel.
et demain, elle sera autre. peut-être. si dame inspiration se montre capricieuse.  
Scarlett Rhodes
Scarlett Rhodes
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Oxymoron
crédits: avatar; depraysie. ✦ sign; awonaa & gif; nyusha.
pseudo/prénom: strn, elle.
pronoms: féminins.
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warnings: milieu familial toxique, ascendance psychologique, troubles du comportement alimentaire, pression familiale et sociale, relation toxique + age gap.
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rp privé, @ty o'lynch
tw; age gap


Bientôt, elle entre dans son antre ; redécouvre avec délectation les parages qu'elle considère pourtant comme interdits – comme si elle franchissait là une limite invisible mais bel et bien exigible. Coule entre temps un rapide regard au protagoniste de cette rencontre quelque peu tardive, même si rien n'est jamais trop lorsqu'il s'agit d'un nouveau potentiel rôle. Et elle sait, ô elle sait, rien qu'en le regardant, qu'elle en sera.

Prend place, s'installe ; se met tout à son aise. Puis regarde, observe ce qui se profile juste là, sous ses yeux. Admire le spectacle que lui offre le réalisateur en pleine ferveur, artiste à sa propre échelle – compositeur de l'ombre capable d'insuffler vie à de simples idées d'abord éphémères, puis réelles. Scarlett, elle, contemple et écoute attentivement, à la fois admirative et subjuguée. À ce moment précis, Ty semble avoir été littéralement choisi pour faire ce travail, cet art ; comme béni par les dieux, s'ils existent, du cinéma.

« Mhmm. » C'est tout ce qu'elle laisse échapper, dans un premier temps. Fouille son sac, trouve ce qu'elle recherche puis se relève lentement, les paupières mi-closes. Se faufile vers l'une des fenêtres opposées à l'entrée, habituée à avoir un spot spécifique pour fumer ses vogues. « Azellia... » répète-t-elle dans un souffle, comme pour s'imprégner du prénom – de la personne, toujours en observant les allées et venues du poète graphique. S'abreuve des inhalations cancérigènes, un sourire limpide plaqué aux lèvres, tandis que leurs regards entrent en collision. Et alors qu'il prononce les seuls mots qu'elle attendait réellement, les planètes semblent doucement s'aligner pour que le tour soit joué.
Je veux que tu sois elle.
Alors, Azel elle sera.
Se détourne un instant, observe les cendres de sa cigarette s'envoler avec un peu plus d'elle-même. Puis revient à sa position initiale, tête légèrement penchée et regard maintenant alangui, prête à jouer sa première scène ce soir. S'approche à pas de chat, d'une démarche traînante mais dansante.

Brebis tournoie tout autour du grand méchant loup, prête à se faire attraper pour toujours se laisser devenir poupée enchantée. « Dis moi tout, » chantonne-t-elle dans un ultime échange de regard. Crève d'envie d'en découvrir les moindres ficelles, de s'en abreuver pour toujours l'honorer.  


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