AD GLORIAM —

swann carlisle
forty-two years old, feat tom hiddleston, fading flowers.

tw:

Under the skin

mindset

D U X B E L L O R U M;

KYKNOS,, S W A N N — ô tribune assassine à l'honneur divine~~ment torché de plasma~~, mensonge millénaire, ère surannée. ô voile olympieux, implore le demi-dieu bâtard (et tu te demandes, à quoi rêvent les tout puissants?) : s'offre l'ombre d'une sculpture marbrée au profil gracieux, se dessinent des courbes dièses aux chrysocales parenthèses, se pavane d'une danse tout en drense, le ~~mirage du~~ bel oiseau blanc ; sire swann, au sang mélèze des carlisle. pureté controuvée. titan aux pieds d'argent, au regard frappé de diamant, au sublime sourire (effrayant?) rayonnant. implore lui pardon. (les dieux ne rêvent jamais, jamais, jamais...... et n'aimeront jamais que leur reflet.)

keywords

SANCTA SIMPLICITAS;

l'écarlate démence prônée en étendard doré sous le masque parfait, adulée dès l'aube au parquet; du maître triomphant les tribunaux, au mentor-pater, figure de proue dans ses nombreux miroirs d'adoration où se plongent (et se perdent...) les juvéniles du cénacle des élus de l'olympe. miroir, miroir, dis-moi qui est le plus beau ~~dis-moi que tu m'aimes, que je suis réel~~. obsession mégalomanie noie des marrées de paranoïa et d'hallucinations surprotégées en soupape de sécurité.

success

SALVATOR MUNDI;

usurpateur d'identité divine valsant parmi l'élite des détraqués avec l'élégance qui lui sied, amiral et roi-assassin, baron albâtre de la sacro-sainte justice. son amante,, et sa plus précieuse martyre. barrister (avocat plaideur) reconnu comme étant un tribun glaçant : « grand personnage », « monstre sacré », « animal provocateur » nombre d'hommages partagés pour le ténor du barreau qui ne cesse de marionnettiser ces pauvres mortels qu'il utilisent et soudoient à sa guise. est né langoureusement le désir ultime de surpasser le ridicule de l'Homme, morale en agonie purement irréversible. saint patron,, leader d'un mouvement élitiste philosophique, les élus de l'olympe et toute l'âme (altérée) qu'il y met fiévreusement. d'aucuns diraient qu'il en est le gourou (haha??); lui préfère clamer qu'il est leur guide et leur père. tandis qu'iels sont les gardes-fous de ses méfaits jugés nécessaires au bon équilibre de leur communauté divine. au nom de sa justice, rien ne sera jamais de trop. (( $ $ $ )) il n'y a que peu de secrets sur le sujet et c'en est écœurant, lorsque se déhanche le puissant, l'argent n'est jamais trop brillant (brûlant?) pour sublimer l'éminent,, indécemment. et swann a accumulé une si belle fortune avec les années, en plus de celle qu'il a dérobé aux sangs-purs desquels il prétend être le premier né.

soul

IN PERPETUUM ET
UNUM DIEM;

et le cœur en lambeaux qui n'a jamais rien su aimer d'autre que le pouvoir et sa belle gueule d'empereur, qu'est-ce qu'on en fait? et tout.e.s celleux qu'il a ravagé sur son passage, où on les mets? l'amour n'est qu'une triste comédie qu'il aime voir apposée sur sa silhouette, comme un tatouage d'admiration indélébile dont il ne se lasse pas. mais c'est une comédie qu'il n'apportera que peu sincèrement à autrui en retour. seul sans ne l'être vraiment, aimé maladivement de ses congénères les plus abimés, pour son image et celle qu'il renvoie sur le monde, pour le breuvage d'or et de sang contenant toutes les vérités des titans qu'il leur fait boire à chaque soleil qui sourit. époux en papier glacé,, l'étranglement de l'amour théâtral en déguisement final. traité médiatique pour le sida rituel. somptueuse odalys, poupée désarticulée, tristesse d'une âme égarée à l'obsession morbide pour l'olympien déchu aux coutures de cerbère, s'aimant tant plus que la terre, elle......... ou même le ciel.

Behind the mask

E G O
in sanguine gloria

tw; mention de sang, meurtre, fratricide, matricide, mommy issues, silent treatment.

l'escalier accélère sa musique après maints tâtonnements dans l'obscurité de la chute aux paliers du vertige. l’œil vide de l'assassin, si jeune, aux fracas de la noirceur. abel tuant caïn? le schéma de la genèse inversé. pour une place sur le trône? (lequel??? ils sont personnes.... c'est peut-être ça, l'idée) le sourire rouge sang resté figé sur les lèvres inanimées. foudroiement de cris, de rage, d'horreur, de coups, de larmes. swann aurait du courir dans sa chambre et s'enfermer à double tour, à ce moment très précis. dans ses plans, personne ne savait. dans ses plans, tout était parfait. mais sur l'instant, il lui est impossible de bouger. enfin; le petit cœur du garçonnet congelé a comme un sursaut d'immolation fulgurante. et au souffle de mort, le sang encore chaud dégoulinant sur ses petites mains glacées le prend violemment à l'âme. monstre, le mot résonne lourdement dans ses oreilles, les dires d'une mater au bord du ravin, tombée sur ses genoux pour enlacer au plus près son premier diable déchu. voilà qu'enfin, à travers le crime; elle semble enfin vivre. un maigre penchant d'existence pour un presque héritier. presque roi. presque succès.

tout ça pour ça? tout ça pour toi?...........et moi, j'ai quoi?
rien. comme toujours.

achlys. achlys. achlys.

les chuchotements de swann soufflés entre les dents, comme la formule d'un mauvais sort appris par cœur.

bientôt, tu seras oublié.

achlys... ach...lys........ qui ça?

et à la fin du voyage, il ne reste plus que le silence..... une absence. il croise son regard dans le m i r o i r. une seconde, peut-être deux. il n'y voit plus rien. la vision s'est troublée. la tête pleine de mythes cadavériques et d'os jouets.

il est encore enfant. il n'a que huit ans, quand mère le tue pour la première fois. puni, pour avoir osé lever les yeux sur elle durant le dîner alors que l'on lui a formellement interdit depuis à peu près toujours. il a bien failli se faire avaler d'un coup de crocs. il aurait suffi d'un mot de trop. il aurait peut-être même préféré. ça aurait été plus facile à supporter. tout ce silence. alors, il serait tombé en mille morceaux, aurait formé un petit monticule de poussières d'or qu'on aurait soufflé sur son gâteau.... qu'il ne gouterait jamais, vu qu'il n'existerait plus, vu qu'il serait puni d'une belle mort. comme tout le monde ici. ou alors on aurait ramassé ses cendres négligemment, pour le repas du chien, ou pour décorer la nappe blanc cassée, pour que mère se demande quelle idée est encore passée par la tête de son affreux fils mal-élevé pour oser l'importuner, alors qu'elle l'a crevé. oui, aujourd'hui, c'est son anniversaire et swann réfléchit à la façon dont il pourrait donner un peu de gaieté à tout l'ennui plombant dans lequel on l'oblige à planer. au prix d'une vie, au prix de tout, pourvu qu'elle lui parle et le regarde, qu'elle l'apprécie un peu, comme papa lui promet tous les soirs. ce menteur. mais mère doit bien avoir oublié, encore? et seul le sourire triste de papa s'est levé au loin et perdu entre les murs glacés du salon. au bout de l'immense tablée de l'immense demeure qu'ils habitent; tous les trois, ils ne se voient presque pas. et puis, lui, est si petit. trop, selon mère. alors que tout est trop grand dans ce manoir. les pièces, les gens, la vaisselle, les portes, les meubles. et les miroirs, si nombreux. père dit que c'est pour que mère s'admire où qu'elle se situe chez elle. oui, "chez elle"... elle a répété quelques fois qu'il n'a rien à foutre ici, que papa devrait le mépriser autant qu'elle le fait. sans doute a-t-elle raison. mais il ne sait pas où trouver un chez lui, swann. papa dit qu'il ne faut pas faire attention à ses mauvais maux. qu'elle est malade. qu'il devait être un bon garçon. alors on s'occupe de lui, de le faire taire quand il est trop curieux par quelques coups bien placés, de l'éloigner des miroirs dans lesquels il se confond à parler à ce garçon d'à peu près son âge. sans doute la même taille. et le même regard. vide. il s'appelle achlys. il a entendu ce prénom une fois. il en est presque sûr. il ne se souvient pas. ou alors si? ou peut-être était-ce dans sa tête? dans un rêve? ce ne pouvait être que lui. son nouvel ami.

...

et quand ils sont arrivés. mère les a immédiatement aimés. et quand ils sont arrivés, il a presque manqué de les tuer ~~eux aussi~~ à chaque respiration qu'ils ont osé pousser en sa compagnie. des envies fulgurantes repoussées au plus tard. un jour peut-être? un soir ou une nuit? mildred et puis thorn. deux cafards ingrats. sa petite sœur et son petit frère. mauvais frère. ou peut-être pas? il faut partager le même sang bleu de prusse pour ça, n'est-ce pas? bâtard. malvenu. malaimé. "chez elle". tout fait enfin sens, maintenant, sauf son existence. une conversation surprise au cœur de l'écho de la bibliothèque réconfortante du manoir. swann, le visage glacial, repose délicatement à sa place initiale, la tragédie qu'il détient entre les doigts. le king lear peut bien attendre. le jeune homme a sa propre tragédie à vivre, dorénavant... s'il n'est pas le bon héritier. pas le fils tant rêvé. s'il n'est que le fruit d'une honte éternelle. d'un amour méprisé. un échec. un moins que rien. alors, personne ne le saurait jamais. chut. ça commence. vous entendez? un ballo in maschera. — et puis pour moi, s'il ne reste plus rien, laissez-moi être un héros, un empereur, un dieu et même un fou de toutes ces ruines qui vous encombrent. oui, je le peux. je serai le fier fils de personne, le guerrier de papier mâché, le chevalier sans armure, le menteur bâtard; de tous ces méandres brisés, retenez-bien, j'en ferai mon royaume.

après quoi; swann a quitté l'ombre de mère pour conjurer sa faute, loin, loin de cet affreux silence. loin de chez elle qui ne sera jamais chez eux. loin de liverpool, et même du pays. loin d'achlys, aussi. n'est-ce pas si dommage? après toute cette peine. après tout ce soutien mutuel. il perd un ami(??). étrangement, la douleur ne vient pas. ne viendra jamais. il est parti, comme il est apparu. comme l'un de ces trop nombreux fantômes qui habitent le manoir. l'ainé envoyé aux oubliettes, sur les terres impies du nouveau-monde, à l'internat; pendant que les cafards s'en vont brouiller les silences douloureux de papa, à sa place.

l'internat, ou le tartare, se révèle être ennuyeux pour swann. région aride, brumeuse, sans vie et monotone avec parfois des étangs glacés, des lacs de soufre ou de poix bouillante; des hurlements et des souffrances. oui, là-bas, c'est l'horreur, probablement pire que n'était le manoir. mais pas pour swann. lui, s'est déjà fait une place et une raison. lui, devient enfin quelqu'un. lui, n'a plus besoin de rien. mais quand, pour sa plus grande surprise, on finit par lui remettre entre les doigts les deux affreux cafards de frangins; il soupire. encore une fois, il lui aurait suffi de simplement les écraser. qu'ils le lâchent à tout jamais. ça aurait été simple. ils n'auraient certainement manqué à personne. et pourtant, voilà qu'ils étaient rejetés, eux aussi. alors ; il les épargnent, une fois de trop pour une raison qui lui échappe, qu'il ne souhaite pas expliquer. inutile de se donner tant de peine? surtout quand thorn meurt un soir. il l'a vu crever, perdre la raison au fil des hivers ; ne lui est pas venu en aide. il a hésité, un peu, à peine. dans son regard de petit frère blessé, swann a vu flamboyer la douleur d'avoir été oublié, mal-aimé, laissé de côté. et peut-être, que, comme ça, il comprendrait ce que ça faisait? ou peut-être qu'il ne le méritait pas, tout ce mal, le cafard. trop tard. quand thorn se fait interner. swann ne le relève pas, ne s'y intéresse que peu, dans le fond, plongé dès lors dans une forme d'anhédonie placide et imperméable. mildred, elle, s'accroche si fort à lui qu'il ne sait pas trop s'il ne préférerait pas la voir aussi finir comme le cadet. au lieu de quoi, elle devient son petit pion personnel. à croire que ça a du bon finalement d'avoir une petite sœur. swann se perd en ces terres sans vie, rien ne parvient à le distraire. peut-être que c'est simplement le chaos qui le dérange. lui qui préfère l'ordre et le contrôle. le contrôle, de lui, des autres surtout, du temps qui court, des maux qui grouillent. de tout, à tout prix. ici, il n'y a rien à faire, c'est impossible et inutile, les prisonniers sont bien trop sots. et il n'a pas le temps de leur apprendre. alors il travaille dur, pour compenser l'ennui de son existence, la tête dans les bouquins de droit, de philo et de politique à mépriser avec arrogance chacune de ces stupides pages, toujours fourré à la fin des cours dans les pattes de ses professeurs; à les inquiéter de ses grands yeux bleus et de ses poings qui tonnent contre la table par surprise, entre deux immenses silences ; lorsqu'on le contrarie d'un pauvre "non". il se tient si bien, si beau, si fier dans ses costumes à pas de prix dans la cour des crèves-la-dalle. brillant élève aux attraits mystiques, dérangé par un je-ne-sais-quoi qui fascine bien des camarades. parfois métamorphosé en quelque chose de plus doux, plus aguicheur, pour jouer un peu de leur crédulité de mortel. dans la voix, dans les faux sourires qui filent bas pour torturer les cœurs déjà à terre, sans les chercher; les actes viennent seuls. et alors il vient trancher les têtes des esthètes osant lui passer devant. c'est à s'y méprendre, de cette folie douce et tendre. de cette violence impromptue qui gronde dans les veines. une dualité toxique. et odalys, s'y perd elle aussi, s'obsède son néant. le genre pour qui il pourrait tomber. . . s'il pouvait seulement aimer.

...

il y a comme un grand blanc après le premier décan. un petit berceau de l'hiver où tout devient flou dans l'esprit brumeux de swann. il ne se souvient pas. de rien. de longues années planquées sous coffre fort. rongé de multiples furies tenues sous silence; le dieu patiente. quelques mois, peut-être des années que le maître a, consciemment ou non, effacé drastiquement de ses mémoires. pour le bien de tous, très certainement. ne demeure qu'un restant de cœur battant tout juste, serré par des remords fantômes, par la rancœur, la haine et le temps. il s'est marié. il ne sait même plus quand. odalys. la poupée à briser. elle est outrageusement belle ; il lui fait vivre la mort. et sous les projecteurs, tout est si beau. pourtant, cette famille maudite le lasse de bout en bout, fausse fratrie ratée..... mais certainement est-il la pièce centrale qu'il a le plus de mal à contenir, à définir aussi sur ce plateau de ruines. il a pourtant de quoi être heureux, ou au moins se réjouir; d'être enfin dieu. il a longtemps rêvé ce moment. rêvé d'être tout là-haut, tout seul, avec un avenir certain pour les siens. être quelqu'un. avoir tout ce qu'il veut, inspirer la peur ou l'adoration, la haine ou la passion; à tout moment du jour ou de la nuit. il a longtemps rêvé voir ses yeux aussi, dans les siens ou crevés au bout d'un piquet. sa fierté, son amour, ses regrets, sa douleur, n'importe quoi de vivant, de tangible. sa mère, pauvre mère assassinée. mince, alors?? mais voilà que rien ne semble le satisfaire, voilà qu'il est trop tard. et que intronisé dans le fauteuil sans fond du bureau personnel de son cabinet privé, non loin de ces âmes grouillant, hurlant à gorges déployées dans les ruelles, pleurant au plus près du cercueil de la mort de la justice et de l'espoir ; le bâtard carlisle lorgne la tombe du silence d'un œil absent. un goût de fer entre les dents.

décidé, il irait construire l'éternité de ses propres poings,
aux élus de l'olympe; voués au pour toujours.
un amour pur~~ement frappé d'orgueil~~.

pour enfin, un jour,

fracturer le silence, arrêter le temps. qui le peut?
dieu le pveut.
.
.
.
vraiment?
.
.
.
.
.
.
.
laissez moi m'aimer le m i r o i r,
faire gronder les t e m p ê t e s,
au nom de zeùs.

lou, nevra 23yo inventé feat tom hiddleston
Le mot de la fin, ce que tu as a ajouter. N'hésitez pas à spécifier si vous refusez les tags par le MJ.
crédits divers - vocivus (icons du haut), a-devious-road (icons de l'histoire), delirium (avatar).

euh ??? mon, dieu, je n'ai pas les m~~aux~~.
entre le profil et son aes, juste sublimes, et ta plume là, toute en jeu de mots, + ce personnage de dément (ty et lui vont en avoir, des choses à se dire, tu n'échapperas pas à ma présence dans ton mindset, monstre sacré ).
je suis amoureuse, c'est grave docteur ?
ne m'oublie pas dès que t'es validé.
et surtout, j'en oublie l'essentiel, bienvenue sur BA, j'espère que ton aventure sera belle.

ps : je me suis permis de mettre tes tw en spoiler, pour que ça n'altère pas trop la longueur du code. j'espère que cela ne t'embête pas, tu es parfaitement libre de remettre comme avant.

@ty o'lynch euh wtf c'est quoi cet accueil de dingo avec ce trop plein de good vibes et de mots beaucoup trop doux pour mon petit cœur?? (c'est pas swann qui s'en plaindrait but i'm shy et j'ai pas des gigas soucis d'égo contrairement à ce vieux titan déglingué, moi, snif svp

)
faut trop que je passe sur ta fiche, vu que av la queenie originelle a flashé sur ton pl c'est bien parce que tu dois avoir des doigts en or hrt

-et du peu que j'ai aperçu c'est clairement une évidence que c'est le cas, bref hell

-
et évidemment qu'on va se trouver un lien de bg entre gros barjos à l'égo défoncé, y a de quoi se galvaniser drama

(ptdrr vraiment quel enfer par contre y a surtout de quoi se barrer à grandes enjambées ma foi ange

)

((et omg merci pour la correction des tw, c'est parfait comme ça, j'en ai mis plein par précaution en vrai et c'est sûr que ça rendait trop lourd, j'avais même pas capté sur le coup je pensais que ça s'était changé tout seul mdrr?? ; vraiment je me crois dans harry potter parfois don't mind me hahah gné

))

@scarlett rhodes tu veux t'battre toi fxck

C'est si beau par ici, j'ai la rétine qui frétille dead

Bienvenue chez toi avec ce personnage qui colle si bien avec le mood du forum, on dirait qu'il est littéralement fait pour fire

Par contre, le duo @Ty O'Lynch et toi me fait hyper peur, vous allez foutre le feu partout, aaaaaaaaaaaaaaaah !

Ta plume est superbe, et il nous faudra également un p'tit lien pour que j'puisse la croiser inrp. héhé2

Bon courage pour ce qu'il te reste à faire, welcome home.

@jillian weiss anhh ça me fait trop plaisir de lire ça merci énormément, franchement le contexte de forum m'inspirait de fou furieux de base et je suis aux anges de pouvoir tenter un perso comme swann parmi tous.t.e.s ces bgs et futurs autres persos incroyables qu'on aura d'ici peu, mamaaa drama

et ofc pour le lien, quand tu veux hell

félicitations, tu es validé.e
tu es désormais membre officiel de BA

mais... pourquoi ça s'est arrêté ?
je n'étais pas prête, continue s'il te plait

vraiment, je suis amoureuse. du personnage, des idées, de la plume, des références, de tout, je ne saurais pas quelle partie citer tant j'aimerais quote l'entièreté de la fiche.
je réitère mon besoin viscéral d'avoir un lien avec swann, et je te fais la promesse sans craindre d'y manquer de passer dans ton mindset. heart

je veux croiser cette plume, je dirais même, j'exige. héhéhé

je te valide avec un plaisir non feint. love

Ca y est, ton aventure peut commencer.
Nous te conseillons avant toute autre chose de réaliser ton mindset, qui sera la fiche d'identité de ton personnage et nous permettra de suivre son évolution.
Nous rappelons également que le forum repose sur un concept de flexibilité. Toute suggestion peut être faite et sera soumise à sondage.
Pour commencer ton aventure rpgique, plusieurs possibilités s'offrent à toi, notamment les recherches de partenaire ou bien la roue des rps ici. Le forum te propose également régulièrement des défis d'écriture.
Enfin, et c'est facultatif, tu peux découvrir le système des cendres propre à Burning Ashes à cette adresse - ( + ).

aaaaah merci infiniment drama

je me DEVAIS de passer. après être en rêverie devant ton pl. snif.
comment t'as pas mis de mot de la fin par contre, insulté
enfin si peu. parce qu'on est SERVIT ?!
j'ai envie de crié, comme sorti d'une stupeur.
point final. je respire enfin. je me sors des étaux lyriques.
quel génie de la création ? il est in-cro-yable-ment admirable et méprisable
puis tom on le voit si peu ce dommage mais ce choix impec' ??
non mais vraiment c'est divinité tombé du ciel aux ailes crasses.
on fait comment devant tant de prestige ?
j'vais crever c'est bon. de l'air quelqu'un.
bienvenue sinon hrt2