perfect little girl

lilith whittemore
29 y.o, feat karol queiroz, BLAZING FLAMES, musique
pression familiale, violence physique, destruction, dévastation, légère mention d'abandon maternel

Under the skin

mindset
Le nom qui brûle autant les yeux que la peau. Patronyme que tu te traînes, tel un boulet, là, le long de ta cheville. Si lourd que tu peines à t’en détacher. Que peut-être, tu t’en détacheras jamais. Whittemore. Comme cette compagnie qui possède un immeuble, comme le pdg qui la dirige. Paternel au carré dans son costume trois pièces et son visage sévère. 29 y.o. Les années qui passent, qui se ressemblent, encore et encore. Les années qui te rapprochent de cette trentaine que tant de gens redoute. Toi, tu t’en fou. Parce que peut-être qu’enfin, tu ne seras plus une enfant, là, dans son regard. Peut-être... Maman brésilienne. Maman mirage, la porte qui claque, le vestige d’un vague souvenir, trop jeune pour comprendre, pour te souvenir. Tu ne la reverras plus. Fille unique, unique héritière. Papa te prend sous son aile, tu reprendras le flambeau, quoi qu’il advienne.

keywords
perfect little girl Sourire aux allures presque parfait, toujours si bien apprêtée, si bien habillée, tu es l’incarnation de la femme parfaite. L’incarnation de ce qu’il veut que tu sois. daddy's girl Pourtant, le sourire se fane, là, si vite dans le creux de la nuit. Là, si vite lorsque les portes sont closes. Parce que t’es pas la petite fille parfaite, parce que y a tes cris qui résonnent trop fort, tes bras qui se battent trop fort. Fort. Fort. T’es pas capable de faire face. Pas capable de comprendre. Pas capable de t’arrêter. crazy Au point que les poings heurtent et saignent. Au point que les peaux se déchirent, se malmènent et tremblent. red

success
Parfois, tu te demandes bien à quoi sert tout cet argent, si ça te rend plus heureuse ou pas. Si avoir moins ne serait pas plus facile finalement. Que cette vie. Cette vie que tu suis sans vraiment savoir où tu vas. Management assistant, tu travailles dans l'entreprise, "l'empire", de ton père. Beaucoup disent de toi que tu es là où tu es juste parce que tu es sa fille. Pourtant, t'as fait des études pour en arriver là, pourtant t'as bien le diplôme qui te rend légitime dans ce rôle. De tes talons trop hauts et ton tailleur sur mesure. De ton sourire maquillé pour accueillir les clients les plus importants. Tu détestes ton métier. Tu crois aussi, que tu détestes ton père.

soul
Au début, t'as pas voulu comprendre, au début t’as fait comme si ça n’existait pas. Oui. Des petits copains à ton bras, des garçons aux sourires trop grands à tes côtés. Puis, t’avais finit par arrêter. De faire semblant. Arrêter. Même si tu n'en avais pas parlé à ton père, oh non. Toi, tu regardes les courbes des filles, tu veux embrasser leurs lèvres et te glisser contre leur corps. Et même si tu n’as eu qu’une petite amie jusque-là, tu sais, que c’est ce que tu aimes, ce que tu veux, là, à tes côtés pour le reste de ta vie. C’est dans ton ventre, dans ton âme, dans ton corps. homosexuelle Et tu l’as rencontré, elle. Elle que tu veux découvrir, que tu veux dessiner. Elle sur qui tu fantasmes et… Elle, cette femme que tu ne connais pas vraiment et pourtant qui t’obsède. célibataire

Behind the mask

red Comme le rouge qui glisse, là, contre ta joue, là, contre tes poignets et tes doigts. Tu fixes un peu hagard droit devant toi, les lèvres pincées, les yeux cernés. Tu ne comprends pas. Tu voudrais comprendre, tu voudrais trouver. Mais, tu n’y arrives pas. Non. Non. Et ça monte, là, dans ta poitrine, là, dans ta tête. Ça monte jusqu’à ce que le cri franchisse tes lèvres jusqu’à ce que tes deux poings heurtent violemment le trop rouge, le trop blanc devant toi. Frustration trop lourde. Tu sanglotes alors que ça ne fait pas ce que tu veux. Alors que ça ne ressemble pas à ce que tu veux. Et les poings continues de heurter. Encore, encore. Peu importe si ça vrille tes nerfs. Parce que ça ne va pas. Parce que ça t’étouffe. Ça… Jusqu’à t’immobiliser, poupée désarticulée, tu retombes mollement sur tes fesses, là, sur le sol en béton, le trop blanc, le trop rouge te narguant. Tu continues de sangloter, larmes translucides qui font glisser le rouge un peu plus loin sur tes joues, le long de ton menton. Mais, tu n’y fais pas attention, ne vois pas, non, à quoi tu ressembles. Si loin de la petite fille parfaite.

Si loin.

Sursaut violent, tu te redresses soudainement, attrapes directement le pot que tu balances devant toi. Éclaboussures qui s’étalent sur le trop blanc, sur le sol et le mur. Sur tes mains où le trop rouge se mélange au sang de ta peau égratignée. Et pourtant, ça ne va toujours pas. Toujours pas. Au point de te mettre à crier comme la folie qui te consume, te brûle, le corps et l’âme. Larmes trop chaudes sur le froid de ton épiderme. Tu ne comprends pas. Non. Tu ne comprends pas. Parce que la toile ne va pas. Parce que tu n’arrives pas transcrire ce que tu veux peindre. Tu n’arrives pas. Tu n’y arrives pas au point de craquer, de recommencer à frapper à détruire, les doigts anciennement manucurés déchirent la toile, cassent ses ongles.

Cris d’agonie.
crazy

La porte s’ouvre, mais, tu ne le vois pas. Non. Tu es juste perdue dans ton monde. Dans ta spirale infernale de laquelle tu n’arrives pas à sortir. Et pourtant… « Encore en train de jouer avec ta peinture, quand vas tu grandir ? » Tu pourrais sursauter, tu pourrais te retourner. Tu ne le fais pas. Trop habituée à ces mots, trop habituée. Et pourtant, tu crois bien que ça continue de faire mal. « Ne sois pas en retard au travail. Et présentable. » La porte claque. Arrêtes de jouer, Lilith. Arrêtes.

Les sanglots reviennent.
Les doigts voudraient déchirer autre chose que la toile.
Peau de ton visage que tu voudrais griffer.
Et pourtant, tes mains restent là, le long de ton corps. Ton regard perdu devant le désastre que tu as créé. Dans deux heures, tu seras à nouveau dans ton tailleur sur mesure. Dans deux heures, tu feras à nouveau semblant. perfect little girl

perfect

Tu ne sais plus, quand tu l’as rencontré la première fois.
Quand elle a commencé à hanter tes rêves, tes pensées.
Quand tu as commencé à fantasmer sur elle.

Et à la suivre.
Suivre.

Tu ne sais plus. Mais, t’imagines, là, le pinceau glisser sur sa peau. Là, le trop rouge glisser le long de son dos, de ses cuisses. De se perdre dans le creux de son intimité, de…

Et les cris reviennent, et la toile ne suffit plus.
Tu veux peindre, peindre.

Jusqu’à la folie.
crazy

zaza 32 ans inventé avec le lien (hell desire) de @Jillian Weiss feat KAROL QUEIRO
Non mais, c'est quoi cette pépite svp

crédits divers - renegade. (icons du haut), renegade. (icons de l'histoire), all-souls (avatar).

mais que vois-je ?
une jolie princesse au nom infernal ?
je suis fan du pseudo, vraiment, très fort.
lilith m'a fait penser à barbie, fourfoyée dans toutes ces injonctions auxquelles elle tâche de répondre, mais comme elle veut toujours plus, elle doit se confronter à ce mur de l'échec. oh combien on peut toustes feel ça.
bref, une écriture toute en beauté, où chaque mot a parfaitement sa place.
j'ai hâte d'en lire encore plus, plus, et plus.
et surtout de voir ce que vous allez faire avec notre reine Jillian (ça va stalker fort)

Merci beaucoup hrt3

bienvenue ici belle demoiselle héhé2

Ohlalalaaaa mais quelle chance incroyable j'ai dead

Le fc, l'histoire qui m'a fait surgir un max de feels, le pseudo, tout, tout, j'aime tout, et puis le choix de ma séductrice carmin, aussi. Évidemment. perv

Tu connais déjà le chemin de ma boîte mp pour mon plus grand bonheur, et je te souhaite officiellement la bienvenue chez toi. hrt

On va se faire un max de beaux rp plein d'érotisme, promis juré craché ! I love you

Merciiii

@Jillian Weiss hihi, contente que ma Lilith te plaise, hâte de pouvoir jouer et tout ça love

ohhh, le choix du pl déjà drama

mais alors combiné avec ce fc et ce perso? complètement fan!
c'est doux ~~ou pas~~ de te lire,
hâte de vous stalker comme jamais
bienvenue par ici heart

Merci à toi ma belle hrt3

félicitations, tu es validé.e
tu es désormais membre officiel de BA

Elle est d'une complexité teeeellement passionnante, ta dame des enfers, mamamia, elle va séduire Jill à tous les niveaux en fait, jpp dead

Cette fiche est un régal à dévorer, et si rapidement faite en plus, je rêve où t'es inspirée ? moustach

Jill veut bien que le pinceau rouge carmin lèvres charnues glisse sur sa peau, btw.

je ne te fais pas patienter plus longtemps, et let's go to rp toi et moi, right ??? hrt

Ca y est, ton aventure peut commencer.
Nous te conseillons avant toute autre chose de réaliser ton mindset, qui sera la fiche d'identité de ton personnage et nous permettra de suivre son évolution.
Nous rappelons également que le forum repose sur un concept de flexibilité. Toute suggestion peut être faite et sera soumise à sondage.
Pour commencer ton aventure rpgique, plusieurs possibilités s'offrent à toi, notamment les recherches de partenaire ou bien la roue des rps ici. Le forum te propose également régulièrement des défis d'écriture.
Enfin, et c'est facultatif, tu peux découvrir le système des cendres propre à Burning Ashes à cette adresse - ( + ).

Merci beaucoup dead2

Je vais venir te harceler en mp sous peu rougit

moi je passe après les validations yolo.
je ne connaissais pas le fc mais quelle belle découverte.
et puis cette fiche tissée fil d'or avec vécu v'là époustouflant.
le mirage. l'obligation aveugle. le paraitre.
et puis ce lien qui se profile en bonbon bon à stalker avec la jiji.
oh la la. ça va être poignant. right in the feels c'est clair.
bienvenue bella hrt2